Vous êtes entrepreneur dans l’e-commerce ou dans un autre secteur, vous êtes indépendant ou vous êtes étudiant ou salarié en quête de sens ou de liberté financière. Peu importe votre situation actuelle, vous avez déjà sûrement du entendre parler du livre Rich Dad, Poor Dad de Robert Kiyosaki, intitulé Père Riche Père pauvre en français.
Et si vous en entendez parler pour la première fois, c’est que vous commencez à peine votre réflexion vers l’indépendance financière. Bienvenue dans ce nouveau monde !
Le livre Père riche père pauvre se base sur les différences d’éducation dans les familles pauvres et les familles riches. La richesse, ça s’apprend et malheureusement, les parents pauvres n’éduquent pas leurs enfants à être riche !
Voici justement quelques chiffres qui font toujours grincer des dents sur cette différence entre riches et pauvres :
- Les richesses des 1 % des plus riches de la planète correspondent à plus de deux fois la richesse de 90 % de la population.
- Il y a seulement 2 153 milliardaires dans le monde, qui possèdent plus de richesses que 4,6 milliards de personnes, soit 60 % de la population mondiale
- Enfin dernier chiffre qui horrifie les féministes : les hommes détiennent 50 % de richesses en plus que les femmes dans le monde.
Ces chiffres sont issus du dernier rapport Oxfam France publié à la veille du rassemblement des décideurs économiques de Davos en 2020.
La solution de Robert Kiyosaki réside dans l’éducation financière de la population qui doit être généralisée. Et il partage de nombreux enseignements précieux dans ce livre.
De nombreuses personnes cherchent chaque mois sur internet les enseignements de ce livre, des pere riche pere pauvre avis ou des pere riche pere pauvre résumé. On a décidé de vous servir sur un plateau les deux, bien que nous vous conseillons vivement sa lecture.
Mais pourquoi le livre Père Riche père pauvre / Rich Dad Poor Dad est-il si populaire ? C’est parce que ce livre a le pouvoir de faire changer votre vie.
Pere Riche Pere pauvre avis et analyse : un must-read qui va vous faire changer votre perception du monde
Les raisons du succès de pere riche pere pauvre
Bestseller depuis plus de 20 ans dans de nombreux pays dans le monde, le livre pere riche pere pauvre présenté comme l'un des meilleurs livres entrepreneurs pauvre a été largement critiqué à sa sortie. Il dérangeait la presse, les riches qui ont vu certains de leurs secrets divulgués, mais aussi les “pauvres” visés par ce livre, les personnes de la classe moyenne, salariées pour la plupart. Pourtant, pere riche pere pauvre est le meilleur besteller de tous les temps sur le sujet de la finance personnelle.
Pourquoi un tel engouement ? Car les pauvres se rendent compte assez rapidement à la lecture de ce livre de la supercherie dont ils sont victimes : le monde est fait pour les riches, gouvernés par les riches. Et ce sont les pauvres qui doivent payer pour les riches tout en étant enfermés dans leur routine quotidienne: métro, boulot, dodo, mais aussi paiement des factures et des crédits.
Le synopsis du livre est simple : Robert a été élevé par un 'père pauvre”, un professeur de la classe moyenne qui a fait de grandes études et a passé toute sa vie à enseigner pour un salaire convenable. Il demande à son fils de faire des études et de trouver un emploi stable. Robert a comme meilleur ami Mike qui lui a la chance d’avoir un “père riche”, qui n’a pas fait d’études, qui est parti de rien et a bâti un empire financier en quelques années seulement. Robert demande au père riche de lui apprendre à devenir riche. S’en suit une série d'anecdotes, de conversations avec Rich dad et de leçons de celui-ci pour devenir riche. On se rend compte rapidement que tous les enseignements du père pauvre ne sont pas les bons.
Dans ce livre, on ne peut être que d’accord avec la critique de l’école et de la société. Elles construisent ensemble depuis notre naissance un rêve commun dans notre inconscient : celui de faire des bonnes études, de trouver un travail avec un bon salaire, d’avoir une vie stable, de ne pas prendre de risques, d’économiser toute notre vie et d’acheter une maison où nos enfants pourront grandir. Et où on pourra leur répéter les mêmes enseignements pour avoir une vie stable et épanouie.
Père riche père pauvre va venir balayer toutes les croyances que nous avons en tant que “pauvre” sur cette idée du bonheur que l’on nous vend à coup de sermons sur ce métier passion qui ne paye pas assez, de plaquettes de parfaits lotissements, de placements marketing ou autres messages subliminaux en tout genre.
Riche vs pauvre ?
Robert Kiyosaki dans pere riche pere pauvre va aussi expliquer cette dissonance cognitive entre riches et pauvres. Les pauvres méprisent souvent les riches. Comment peut-on être aussi riche et payer aussi peu d’impôts ? Pourquoi la richesse n’est-elle pas mieux répartie ? Pourquoi l’écart entre riche et pauvre est toujours plus grand ? Comment en sommes-nous arrivés là ?
J’ai moi-même été confronté via mon entourage (et je continue de l’entendre d’ailleurs) à cette haine des riches : “si un tel a une belle maison, c’est parce qu’il a été aidé par ses parents qui sont blindés”, “cette personne pue le fric”, “les politiques sont tous corrompus par l’argent”, “c’est facile pour eux, ils ont eu un héritage”, “c’est toujours les mêmes qui payent”, “ils ne veulent pas payer leurs impôts”, “mais ils font des magouilles eux”, “ils font ça pour l’argent ou pour leur image”, “les riches sont déconnectés de la réalité”, … et j’en passe.
Et finalement, on l’entend tellement que l’on finit par le penser soi-même. Encore plus dans un pays comme la France ou parler d’argent est encore tabou, que ce soit en milieu professionnel ou familial.
Mais à la lecture de pere riche pere pauvre, on comprend que ce n’est pas de la faute des riches si nous sommes dans cette situation, mais de notre propre ignorance, de nos propres peurs ou de notre résistance au changement. Et que si on était riche, on agirait sans doute comme tous les autres grands de ce monde.
Pourquoi les riches réussissent et les pauvres ont toujours des difficultés à combler les fins de mois ? Pour l’auteur de Rich Dad Poor Dad, c’est à cause de notre manque d’éducation financière. Si nous comprenions mieux le monde financier dans lequel nous vivions et que nous nous formions continuellement, tout le monde pourrait devenir riche.
Pere riche pere pauvre avis : à lire absolument !
Ce livre ne va pas vous apprendre à être riche du jour au lendemain. Et ne vas pas vous aider à comprendre mieux les finances. Son but est seulement de vous faire prendre conscience de la vie dans laquelle vous êtes. De vous faire réaliser certaines dérives de la société.
On vous conseille vivement de lire ce livre en entier. Même si vous n’aimez pas lire, Robert Kiyozaki a écrit pere riche pere pauvre pour qu’il soit accessible à tous, et très facile à lire. En lisant cet ouvrage, vous allez peut-être aussi penser que Robert se répète pas mal. Encore plus si vous lisez d’autres livres de Robert Kiyosaki, comme par exemple le “Financial IQ” ou le “Guide to investing”. Et oui il se répète. Mais c’est une technique d’apprentissage.
Pour bien assimiler les concepts clés et les expliquer sous plusieurs aspects. Finalement quand on vous apprend quelque chose à l’école, on vous le rabâche aussi de nombreuses fois pour que ça rentre dans votre tête !
Si la lecture n’est vraiment pas votre truc, vous pouvez toujours l’écouter en format audio ou sinon lire un pere riche pere pauvre résumé entier avec la startup Koober. Voici le résumé de principales leçons de pere riche pere pauvre.
Pere riche pere pauvre avis : à lire absolument !
Ce livre ne va pas vous apprendre à être riche du jour au lendemain. Et ne vas pas vous aider à comprendre mieux les finances. Son but est seulement de vous faire prendre conscience de la vie dans laquelle vous êtes. De vous faire réaliser certaines dérives de la société.
On vous conseille vivement de lire ce livre en entier. Même si vous n’aimez pas lire, Robert Kiyozaki a écrit pere riche pere pauvre pour qu’il soit accessible à tous, et très facile à lire. En lisant cet ouvrage, vous allez peut-être aussi penser que Robert se répète pas mal. Encore plus si vous lisez d’autres livres de Robert Kiyosaki, comme par exemple le “Financial IQ” ou le “Guide to investing”. Et oui il se répète. Mais c’est une technique d’apprentissage.
Pour bien assimiler les concepts clés et les expliquer sous plusieurs aspects. Finalement quand on vous apprend quelque chose à l’école, on vous le rabâche aussi de nombreuses fois pour que ça rentre dans votre tête !
Si la lecture n’est vraiment pas votre truc, vous pouvez toujours l’écouter en format audio ou sinon lire un pere riche pere pauvre résumé entier avec la startup Koober. Voici le résumé de principales leçons de pere riche pere pauvre.
Père riche père pauvre résumé : les principales leçons de Robert Kiyozaki
Leçon 1 : Les riches ne travaillent pas pour l’argent
“The poor and the middle class work for money. The rich have money work for them”
“Les pauvres et la classe moyenne travaillent pour de l’argent. Les riches font en sorte que l’argent travaille pour eux.”
Robert commence chaque leçon de pere riche pere pauvre par une citation clé, que l’on vous retranscrit ici en anglais et en français. L’idée de ce chapitre est toute simple : Vous ne travaillez pas pour l’argent, l’argent travaille pour vous.
Dans cette première leçon, Robert inculque quelques concepts clés en racontant sa première expérience avec Rich Dad : il accepte de lui apprendre à devenir riche, à condition qu’il travaille pour lui les weekends. Robert accepte, et travaille dur tout en étant payé une misère. Après plusieurs semaines à attendre que son père riche lui donne plus d’argent ou tienne sa promesse de lui apprendre quelque chose, Robert revient vers lui énervé, prêt à démissionner. “Je mérite d’être mieux traité, je travaille pour rien, je n’apprends rien, …”.
Rich Dad réagit en disant : “Pas mal, en moins d’un mois, tu parles et tu penses comme la plupart de mes employés”.
Ses employés travaillent pour l’argent, et n’ont pas forcément de vrai désir d’apprendre. Ils acceptent parfois d’être sous payés par crainte d’échouer ou de ne pas avoir d’argent. Pourtant l’échec fait partie de la réussite. Les personnes qui évitent l’échec évitent également le succès. En cas de problème, ils préfèrent dénigrer leur employeur plutôt que de se remettre en question. Alors que s’ils réalisent que c’est eux le problème, ils ont le pouvoir de changer.
Malheureusement le commun des mortels n'est intéressé que par un travail stable et par des augmentations. Et quand leur patron donne plus d’argent, ils en veulent toujours plus, et deviennent endettés en prenant des crédits. Les employés deviennent des esclaves de l’argent. Un esclave même payé une fortune reste un esclave.
Cette course au toujours plus, Robert l’appelle la rat race, à l’image de la petite souris en cage qui tourne continuellement dans sa roue. En quête de quoi ?
Finalement après cette leçon, Robert continue à travailler pour Rich dad sans salaire, et refuse même une belle augmentation pour ne pas avoir à travailler pour l’argent. Il arrive finalement à monter son premier business avec Mike en faisant payer l’entrée à une mini bibliothèque de comics qu’il a récupéré gratuitement d’un magasin qui allait s’en débarrasser. Il a réussi à faire travailler l’argent pour lui !
Leçon 2 : Pourquoi enseigner l’ABC du domaine financier
“It’s not how much money you make, it’s how much money you keep”
“Ce n’est pas combien d’argent vous gagnez, mais c’est combien d’argent vous gardez”
L’idée principale de ce chapitre de pere riche pere pauvre est que l’écart entre riche et pauvre est soutenu depuis des décennies par un système éducatif qui ne nous apprend pas les bases de l’argent et du monde de la finance. L’objectif de l’école, c’est de vous former à être de très bons employés, pas de très bons patrons ou de très bons investisseurs.
On nous apprend à économiser, mais à faire dormir notre argent sur un compte, alors qu’on peut le réinvestir pour qu’il rapporte plus d’argent. On a beau avoir fait de grandes études, on est presque tous analphabètes sur le plan financier. Si vous en doutez, vous pouvez acheter le Figaro, essayer de lire le supplément rose, et vous comprendrez que vous n’y comprenez rien.
Il n’y a qu’en école de commerce qu’on apprend un peu l’économie ou la comptabilité, et encore de manière insuffisante. Dès notre plus jeune âge, on devrait apprendre à gérer notre argent. Finalement, il devrait y avoir plus de jeux comme le Monopoly ou La bonne paye pour apprendre les bases aux enfants. C’est pourquoi Robert a d’ailleurs créé le jeu Cashflow, que l’on peut jouer en ligne.
Robert rappelle dans ce chapitre l’importance de l’éducation financière à tout moment de la vie.
Il introduit ici également pour moi la chose la plus importante à retenir du livre pere riche pere pauvre, à savoir “the difference between an asset or a liability”, ou la différence entre un actif et un passif.
Un actif est une possession qui permet de générer un revenu à son propriétaire, un passif est une possession qui va au contraire générer des dépenses. En anglais, c’est encore plus clair : le terme asset veut dire atout, et liability veut dire responsabilité. Je préfère les termes anglais, car avec “passif” on peut avoir du mal à différencier des revenus passifs, qui sont en fait très bon à avoir et peuvent générer des assets.
Voici les graphiques de Rich Dad Poor Dad dans les deux langues :
Les riches vont investir plus dans des actifs, des assets, pour que ces actifs deviennent la majeure partie de leur revenu, leur income. Ils ont des passifs (liabilities), la responsabilité de payer des crédits et dettes qui leur apportent des dépenses (expenses), mais elles sont couvertes par leurs revenus qui sont plus importants grâce à leurs actifs. Les personnes pauvres ou de la classe moyenne investissent quant à eux dans des liabilities qu’ils pensent être des assets.
Comme exemple, Robert prend celui d’une maison. L’achat d’une maison représente souvent l’investissement d’une vie, un atout majeur pour une personne lambda que l’on va pouvoir transmettre à ses enfants.
Mais pour Robert, une maison est un passif qui va représenter de nombreuses dépenses et un crédit dont on va être prisonnier pour 30 ans. Vous allez devoir payer la taxe foncière, les frais d’entretien, votre maison peut perdre de la valeur ou être détruite, et vos enfants vont encore devoir payer des frais de succession élevés s’ils veulent pouvoir en hériter. Certes, vous ne jetez pas un loyer par la fenêtre chaque mois car vous remboursez votre crédit, mais vous ne faites pas d’argent non plus.
Un investissement locatif est en revanche un atout, un actif, un asset : le crédit va être payé grâce au loyer des locataires et vous pouvez même faire une plus-value chaque mois, ce que Robert appelle le cashflow. Comme quand vous revendez un produit avec une marge. Ou que vous revendez une action en bourse après avoir fait un produit. Le cashflow que l’on génère, c’est la base de l’investissement. Plus on a de cashflow, plus on peut investir, plus on est riche.
Leçon 3 : Occupez-vous de vos propres affaires
“The rich focus on their assets columns while everyone else focuses on their income statements”
“Les riches se concentrent sur leurs investissements pendant que le reste du monde se concentre sur sa fiche de paie”
Robert commence ce chapitre avec une parfaite anecdote : quand le créateur de Mc Donald's demande à des étudiants quel est son business, son audience ne comprend pas et ils répondent tous en coeur : les hamburgers ! Mais non, le vrai business de Mc Donald's, c’est celui de l’immobilier, car Mc Donalds a implanté partout dans le monde ses restaurants dans des endroits stratégiques.
On a tendance à avoir du mal à différencier business et occupation. Quand on est banquier, ce n’est pas notre banque, mais celle de quelqu’un d’autre. Avec cette leçon, Rich dad nous fait comprendre qu’il faut surtout se préoccuper de son business plutôt que de travailler pour le business des autres.
Chaque dollar gagné doit être réinvesti intelligemment. Les riches achètent des objets de luxe en dernier, alors que les classes pauvre et moyenne achètent les objets de luxe dès qu’ils reçoivent le fruit de leurs premiers investissements. Donc il faut travailler sur sa colonne d’asset pour générer ses propres revenus et les réinvestir le plus possible tout en veillant à ne pas payer trop de taxes sur ces assets.
Et la création d’une entreprise permet d’éviter ce problème.
Leçon 4 : L’histoire des taxes et le pouvoir des entreprises
“The corporations are the biggest secrets of the rich”
“Les entreprises sont les plus gros secrets des riches”
Dans cette leçon de pere riche pere pauvre, l’auteur revient sur les origines des taxes gouvernementales, et pourquoi elles sont aussi favorables aux riches. La classe la plus surtaxée est la classe moyenne.
Si un pays taxe trop les riches, ils auront tendance à trouver d’autres solutions via des entreprises, à travers des montages fiscaux parfaitement légaux, ou à s’expatrier. Voilà par exemple pourquoi l'impôt sur la fortune a disparu en France. C’est encore par manque d’éducation financière que finalement les classes moyennes payent plein pot !
Les lois sont faites pour faciliter l’investissement des riches, souvent à travers des entreprises ou des holdings. L’investissement personnel est le plus taxé. Les entreprises ont un régime plus favorable.
Par exemple, quand une entreprise gagne de l’argent, elle dépense d’abord en employés, en notes de frais, puis ensuite paye ses taxes sur un revenu plus faible. Donc moins de taxes à payer. Alors qu’à l’inverse, un employé va recevoir son salaire, mais devra payer des taxes avant de pouvoir dépenser. Donc plus de taxes à payer !
Finalement en étant employé, on travaille pour l’argent et on donne le pouvoir à son entreprise qui va faire du profit. Alors que si l’argent travaille pour nous et l’entreprise que vous avez créé, vous gardez le pouvoir.
La leçon de pere riche pere pauvre, c’est finalement de se payer en premier !
Leçon 5 : Les riches engendrent l’argent
“Often in the real world, it’s not the smart who get ahead, but the bold”
“Dans le monde réel, ce n’est pas le plus intelligent qui réussit, mais le plus audacieux”
On sait tous que l’argent est la plus grande croyance universelle : finalement, un billet n’est qu’un morceau de papier auquel on ajoute une valeur fluctuante. L’argent en soi n’est pas réel. Du coup il peut être créé.
Les riches créent de l’argent et voient des opportunités ou le commun des mortels n’en voient aucune. Par exemple, Robert Kiyosaki a fait récemment un webinar où il parle de toutes les opportunités d’investissement que représente la crise sanitaire et économique de la pandémie COVID-19.
Comme exemple, Robert cite de nombreuses plus values immobilières qu’il a réalisé en achetant des biens immobiliers en tant de crise. Il les a ensuite revendu sans difficulté parfois au triple du prix une fois le marché rétabli. Pour faire ce genre d’affaires, il n’y a pas forcément besoin d’un apport financier pour acheter.
Encore une fois, il faut se former en immobilier comme sur n’importe quel autre marché si vous voulez investir. Si vous ne comprenez pas l’investissement, ne vous lancez pas. On dit souvent que l’investissement est risqué, mais Robert explique dans son autre livre “Guide to investing” qu’un investissement n’est pas un risque s’il est mesuré et contrôlé.
Leçon 6 : Travaillez pour apprendre, pas pour l’argent
“Job security meant everything to my educated poor dad. Learning meant everything to my rich dad”
“La sécurité de l’emploi était le plus important pour mon père pauvre. L’apprentissage était le plus important pour mon père riche.”
Dans cette dernière leçon, Robert Kiyosaki revient sur l’importance de la formation. Il prend l’exemple d’une grande écrivaine qu’il a rencontré alors qu’il faisait la promotion de son nouveau livre. Elle s’interrogeait pourquoi son livre ne se vendait pas. Il lui a répondu simplement : I’m not a best-writing author, I'm a best-selling author.
En d’autres termes, ce n’est pas parce que c’est un bon auteur qu’il vend des livres, mais parce qu’il sait les vendre.
Pour pouvoir bâtir un empire et devenir riche, il souligne donc l’importance d’être un bon commercial, et de savoir communiquer. A l’inverse de son Rich dad, Robert était un introverti qui détestait vendre. Il a finalement commencé à travailler dans l’entreprise Xerox car elle offrait un très bon programme de formation commerciale.
Le Big Mac n’est pas connu pour être le meilleur hamburger du monde. Pourtant c’est le plus connu. Comme le dit Robert, le monde est plein de personnes talentueuses mais pauvres. Elles doivent se former à la vente et au marketing pour connaître le succès.
Robert recommande aux jeunes de chercher leur premier travail pas par rapport à ce qu’ils vont gagner, mais ce qu’ils vont apprendre (not on what they will earn, but on what they will learn).
Pere riche pere pauvre résumé : les 3 points clés pour les entrepreneurs
Vous l’aurez compris, le livre Rich dad poor dad est riche en enseignements. Et encore une fois, nous conseillons vivement aux futurs entrepreneurs de prendre le temps de le lire. Surtout l’édition 20 ans après, car le livre a été écrit en 1997. Les affaires sont toujours les mêmes depuis, mais Robert a apporté en plus une analyse plus récente. Avec la crise sanitaire actuelle, certaines vérités dans ce livre font encore plus réfléchir. Et donne envie de se lancer pour sortir enfin de cette rat race permanente.
Si on devait finalement résumer les 6 leçons de Robert Kiyozaki et de son Rich dad dans Père riche père pauvre, on en tirerait 3 points clés qui aideront tout entrepreneur à atteindre leur indépendance financière.
- Eduquer votre QI financier : vous devez rattraper le retard accumulé à l’école et vous former le plus possible sur les marchés financiers, les différents types d’investissement (bourse, immobilier, cryptomonnaies, actionnariat, …)et les lois de votre pays. Continuez à vous former également en vente et en marketing, deux compétences clés pour vendre mais aussi pour séduire des investisseurs
- Trouver des assets : n’investissez pas dans des liabilities, mais dans des atouts qui vont vous faire gagner de l’argent, pas en dépenser plus
- Investir avec son business : si vous êtes déjà entrepreneur, vous avez créé votre entreprise. Grâce à votre bénéfice, vous pouvez le réinvestir dans des placements financiers. L’investissement à travers votre entreprise sera moins taxé que votre investissement personnel.
A la fin de la lecture de Père riche père pauvre / Rich dad poor dad, vous comprendrez que le salariat n’offre finalement aucune possibilité d’avoir une liberté financière. Peu importe votre salaire. Robert rappelle un vieux adage : Job est l’acronyme de Just Over Broke, ou presque fauché. C’est ce que vous ferez à travers votre entreprise ou avec du side money qui vous ouvrira les portes de la liberté.
Alors, prêt à investir ? Prêt à entreprendre ?